Vus en DVD

Bah oui, quoi, il y a des films qui ne passent pas à la télé mais qui méritent le détour !

ben oui comme les thunderbirds le film avec des "vrais" acteurs, bon on ne l'a pas vus encore(il est sorti direct to video)

Elégie de la bagarre

Du Seijun Suzuki "presque" sage...

Le film raconte l'histoire de Kiroku, lycéen partagé entre son sens du devoir et son amour pourla belle Chiriko, dans le Japon des années 30. Jusque là, rien d'extraordinaire...
Mais avec Suzuki aux commanes, ce scénario classique sera torpillé pendant le tournage pour aboutir à une oeuvre iconoclaste (au sens vrai du terme). Le devoir ici n'est guère plus qu'un code de virilité absurde, vaguement réminiscent du bushido.
Les lycéens pour être des des hommes doivent se battre, ne penser qu'à cela. Un exutoire pour leur sexualité refoulée (voir la scène hilarante du piano de Chiriko, auquel Kiroku ne joue pas avec les mains...). Une manière de les enfermer dans un système de pensée sclérosé, qui aboutira à une tentative de coup d'Etat fasciste (évoqué à la fin du film) et à la guerre.
Un film engagé, où l'humour sert la critique sociale.

Comme toujours chez Suzuki, le film est formellement superbe, la mise en scène comme la direction d'acteurs ne laissant rien au hasard et restant encore aujourd'hui étonnamment moderne (Elégie de la bagarre a été tournée en 1966).

l'effet papillon

evan a sa mémoire qui lui joue des tours... Il est à un endroit, et soudain il se retrouve dans une toute autre situation, sans savoir pourquoi... on s'inquiète, on s'interroge... est-il comme son père ? fou ? dangereux ?

pour compenser ses trous de mémoires, son psy lui conseille de tout consigner dans un journal. evan tient un journal intime depuis qu'il a sept ans. Un jour il se rend compte qu'il peut influencer le passé par l'intermédiaire de ses journaux intimes... pour changer la vie de celle qu'il aime, pour la sauver... mais est-ce sans danger ?



j'ai beaucoup aimé... ça m'a fait penser, sur beaucoup de points, à Donnie Darko. Des scènes qui font sursauter, des acteurs touchants (oui, même M. Demi Moore, Ashton Kutcher). Une BO sympa. Demain soir, je me regarderai la fin alternative... il paraît que ça dépote...

yeles a écrit:

l'effet papillon

evan a sa mémoire qui lui joue des tours... Il est à un endroit, et soudain il se retrouve dans une toute autre situation, sans savoir pourquoi... on s'inquiète, on s'interroge... est-il comme son père ? fou ? dangereux ?

pour compenser ses trous de mémoires, son psy lui conseille de tout consigner dans un journal. evan tient un journal intime depuis qu'il a sept ans. Un jour il se rend compte qu'il peut influencer le passé par l'intermédiaire de ses journaux intimes... pour changer la vie de celle qu'il aime, pour la sauver... mais est-ce sans danger ?



j'ai beaucoup aimé... ça m'a fait penser, sur beaucoup de points, à Donnie Darko. Des scènes qui font sursauter, des acteurs touchants (oui, même M. Demi Moore, Ashton Kutcher). Une BO sympa. Demain soir, je me regarderai la fin alternative... il paraît que ça dépote...

Bof

(déja regardé 5 fois ce film )

A noter ce superbe morceau de la BO, "Stop Crying Your Heart Out" d'un groupe tant décrié ici et ailleurs

JeanRaoul a écrit:

Bof

(déja regardé 5 fois ce film )

ouah l'autre éh !

et ta critique de SW III ? t'as toujours pas fini de digérer le film ?

yeles a écrit:

JeanRaoul a écrit:

Bof

(déja regardé 5 fois ce film )

ouah l'autre éh !

et ta critique de SW III ? t'as toujours pas fini de digérer le film ?

J'attends de le revoir

Héhéhéhéh

JeanRaoul a écrit:

yeles a écrit:

JeanRaoul a écrit:

Bof

(déja regardé 5 fois ce film )

ouah l'autre éh !

et ta critique de SW III ? t'as toujours pas fini de digérer le film ?

J'attends de le revoir

Héhéhéhéh

lol... gourmand

Revu il y a quelques jours :

Black Mask


A ma gauche, Tsui Hark, producteur, grand fan de super-héros ; à ma droite, Daniel Lee, réalisateur, peintre, mais pas tellement fan de gus en collant moulant qui se tapent dessus à coups de super-pains... Au milieu, Jet Li qui frappe sous la direction de Yuen Woo-Ping (qui savait encore diriger des combats à l'époque, avant d'être happé par la machine hollywoodienne)...

Le résultat est un film bancal, où Jet Li incarne un homme qui n'a plus la faculté de ressentir la douleur, ni les émotions du coup (cherchez pas), un super tueur présumé mort et qui joue les idiots pour ne pas se faire repérer. Mais quand ses anciens collègues dessoudent les triades locales de Hong-Kong pourle compte des colombiens, et embêtent son copain flic, il faut bien qu'il endosse à nouveau son pardessus noir (plus le masque et la casquette qui vont bien)...
Si le scénario a parfois du mal à rester pleinement cohérent (à cause des tiraillements entre producteur et réalisateur), le spectacle reste agréable à regarder, l'esthétique est soignée et l'ensemble plaisant et défoulant...

Et c'est dans tous les cas meilleur que Black Mask 2, gros nanar (sans Jet Li et avec un Tsui Hark en roue libre derrière la caméra) rempli de catcheurs mutants.
Remarquez, pour une soirée entre potes, ça a le mérite d'être drôle.

Retour à la 36è Chambre


Le deuxième volet de la trilogie de la 36è chambre de Shaolin ! Pour cexui qui l'ignorent, chacune des "chambres" est dédiée dans le temple à une partie de l'entraînement aux arts martiaux, en fonction du niveau de l'étudiant, de la partie du corps que l'on fortifie, de l'arme...
La 36è chambre est celle qui accueille les étudiants laïques.

Bref, contrairement à ce qu'o npourrait croire, mis à part ce lieu, chacun des films est indépendant, il ne s'agit pas de suites.

Si le premier film (La 36è Chambre de Shaolin) est sérieux, avec comme volonté de montrer la philosophie des arts martiaux, ce second est beaucoup plus axé sur la comédie tout en continuant à bénéficier d'une vraie profondeur scénaristique.
On y découvrira le kung-fu de l'échafaudage !! Un film très sympathique, qui ne se résume pas à une distribution de mandales en tous genres, construit comme souvent sur le modèle du parcours initiatique, avec en toile de fond une volonté pour le héros de mettre fin à une injustice grâce aux arts martiaux.
La copie DVD est très belle, les couleurs éclatantes, et met parfaitement en valeur le travail de mise en scène de Liu Chia Liang. Une occasion également de découvrir pour les novices que les artistes martiaux au cinéma ne se résument pas à Bruce Lee et Jet Li. Gordon Liu est aussi talentueux.

RAS LE CUL DE CETTE CONNERIE DE FORUM QUI VOUS DECONNECTE PENDANT QUE VOUS ETES EN TRAIN D'ECRIRE !!!!!!!

Je voulais vous dire tout le bien que j'ai pensé de St John's Wort, ce sera pour plus tard ! Tant pis !

Sarugaku a écrit:

RAS LE CUL DE CETTE CONNERIE DE FORUM QUI VOUS DECONNECTE PENDANT QUE VOUS ETES EN TRAIN D'ECRIRE !!!!!!!

Je voulais vous dire tout le bien que j'ai pensé de St John's Wort, ce sera pour plus tard ! Tant pis !

bizarre ça ?

forum actif aurait-il des soucis ?

tonton ? une info ?

Aucun soucis du côté de forumactif.... vérfiez vos connections

Moi ça clapote très bien (mis à part le problème récurrent des posts qui se mettent "lus" alors que ce n'est pas le cas) sinon ça gazouille ...

Bah vi, j'ai pas eu de bol au mauvais moment... Mais c'est toujours énervant, surtout quand on écrit autre chose que des bêtises (si si, ça m'arrive, pas souvent, mais tout de même)...

St John's Wort


De prime abord, on pourrait prendre ce film pour un simple Blair Witch japonais... Mais c'est en fait beaucoup plus, une expérimentation visuelle franchement sympathique.
L'histoire est simple : Nami et Kohei, concepteurs indépendants de jeux vidéo, vont visiter un vieux "manoir" abandonné, en repérage pour les décors de leur prochaine production. La maison en question est en fait la demeure du père de Nami, peintre légèrement torturé, qui l'a abandonnée enfant. Les sombres secrets du passé peuvent ressurgir.
Si le film est un peu léger côté histoire, c'est pour mieux mettre en avant ses atouts esthétiques. Le jeu vidéo ici n'est pas qu'un prétexte scénaristique, il fonde tout l'aspect visuel du film.

Tourné en DV, ce qui lui confère un aspect amateur non désagréable, St John's Wort reprend l'esthétique qui a fait le succès et l'efficacité de Silent Hill ou Project Zero (voire Resident Evil, eut égard au hall d'entrée du manoir...). Image caméra à l'épaule, prise sur le vif, pour mieux destabiliser le spectateur. Des plans fixes dont le cadrage est directement emprunté aux jeux cités... Jusqu'au décor, qui semble totalement inamovible : les seuls objets avec lesquels l'interaction est possible sont ceux qui permettent de faire avancer l'histoire.
Les couleurs sont travaillées à l'extrême pour renforcer l'immersion et perdre la limite entre la réalité et le jeu.

Jamais on n'a eu autant l'impression en regardant un film, de se trouver dans un survival horror d'ambiance. N'espérez pas des combats avec des zombis ou des fantômes, ici, on est dans le domaine du jeu à énigmes.

D'ailleurs, Kohei et Nami sont-ils juste les concepteurs du jeu, ou également ses personnages ?

Bref, une bonne petite surprise que ce film qui ne paie pas de mine au premier abord, un moment fort agréable à passer.

Le Dernier jour de la colère (Il Giorni dell'ira)

De Tonino Valerii

Pour ceux qui ne connaissent pas le réalisateur, sachez que nous lui devons également Mon Nom est Personne, western mélancolique autant que picaresque, qui mettait face à face un jeune pistolero (Terence Hill) et Jack Beauregard (Henry Fonda), soit le vieil Ouest des légendes et le nouveau western...

Bref, le film dont il est question ici nous parle de recherche du père à travers l'histoire de Scott (Giuliano Gemma), fils de prostitué, souffre-douleur d'une petite ville-bien-comme-il-faut. Son destin changera le jour où passera en ville Talby (Lee Van Cleef), redoutable pistolero sans trop de foi ni de loi... Fascination, émulation, manipulation... Le périple des deux hommes ne sera pas de tout repos, et Scott devra finir par choisir entre ce modèle et celui de l'ancien shériff en retraite qui seul en ville lui témoignait bienveillance et considération...

Un western de facture solide, violent, mais sans débordements gore ni gratuité, âpre et beau comme une tragédie ancienne. La réalisation de Valerii est fluide, il prend le temps de présenter ses personnages, de les caractériser habilement en peu de mots ou d'images :
- Scott chargé du vidage des seaux d'aisance de la ville
- Talby arrivant au milieu de la rue principale, apparition digne d'un prince... Mais avec un panache de fumée noire s'échappant d'une cheminée derrière lui...

Bien entendu, l'habituelle galerie de sales trognes est au rendez-vous. Vous vous souvenez du bandit qui jouait avec une mouche en attendant Charles Bronson au début d'Il était une fois dans l'Ouest ?

On pense parfois au film de James Foley Comme un chien enragé, qui développera des thèmes proches dans les USA d'aujourd'hui, avec en vedette Sean Penn et Christopher Walken.

Si vous pensiez que le western italien se limitait à Sergio Leone d'un côté et à la veine parodique des Spencer/Hill de l'autre, voici l'occasion de découvrir toute sa richesse, formelle autant que scénaristique.

Sarugaku a écrit:

RAS LE CUL DE CETTE CONNERIE DE FORUM QUI VOUS DECONNECTE PENDANT QUE VOUS ETES EN TRAIN D'ECRIRE !!!!!!!

Je voulais vous dire tout le bien que j'ai pensé de St John's Wort, ce sera pour plus tard ! Tant pis !

Moi j'ai vu l'autre DVD du coffret dans lequel il y a St John's Wort. Uzumaki ça s'appelle.
Ben dites moi... C'est très très pas bien du tout.
Du coup, j'ai pas regardé St John's Wort. Mais je vais revenir dessus demain soir, tiens.
( message subliminal : allez voir Godzilla Final Wars )
Sinon, Sarugaku, tu connais Seijun Suzuki : c'est très beau, ça. Je conseille à tout le monde, particulièrement, la "Barrière de Chair", qui nous rappelle que les audaces de scénario, et les anti héroines sauvages ne sont pas arrivées au cinéma avec Tank Girl, et surtout le magnifique "la Vie d'un Tatoué", dont les mots ne sauraient dire la magnificence de la scène finale.

Et pour terminer dans les DVDs asiatisants, j'ai revu récemment "le Cimetière de la Morale" de Fukasaku Kinji. C'est un film à la mise en scène extrêmement audacieuse ( cadrages incroyables, changement de filtres incongrus, ralentis outrancier : tout Tarantino dans un film ) et au scénario sans concession. Un yakusa qui ne parvient pas à s'intégrer à un quelconque clan dégénère et corrompt tout autour de lui. C'est l'image inverse de la vision héroïsé du yakusa, le miroir tendu à un Japon hypocrite - ou considéré comme tel... Avec une performance d'acteur incroyable de Tesuya Wataru, et une photo remarquable ( notamment dans la scène où le yakusa, déchu, tombe dans l'héroïne dans les bras d'une prostituée déjà à moitié morte... ).
Par le réalisateur de "Battle Royale", en passant.
Du grand art, et trouvables dans toutes les bonnes crémeries qui auraient l'idée de vendre des DVD. ...

Voilà un chat de goût !

La Barrière de Chair est effectivement un excellent film, drame centré autour d'un petit groupe de prostituées recueillant un mauvais garçon, dans le Japon de l'immédiat après-guerre.
Je n'ai pas encore vu La vie d'un tatoué, par contre. Il faudrait que je vérifie si le 3è coffret Suzuki sort bientôt...

Les polars de Fukasaku sont effectivement de grands moments de cinéma, des polars socialement engagés, à la mise en scène moderne et inventive. Comme tu le dis, une influence déterminante pour Tarantino d'un point de vue formel (d'ailleurs, c'est lui qui présente le documentaire sur le réalisateur dans les coffrets sortis chez Wild Side).

Sinon, Uzumaki nous avait également fortement déçus, Likefia et moi. Ayant lu le manga (paru en France sous le titre Spirale, soit la simple traduction d'Uzumaki), et l'ayant adoré, nous attendions beaucoup de ce film. Malheureusement, malgré quelques tentatives visuelles sympathiques pour rendre les spirales omniprésentes, le film se finit avant d'avoir commencé... Et du coup, nous avons trèèèèèèèèès longtemps avant de regarder St John's Wort.

Bon, et j'espère que Godzilla Final Wars passera encore quelque part mercredi...

Juste pour dire, le troisième coffret Suzuki est sorti il doit y avoir plus de 6 mois, mais hélas de façon très confidentielle. Il faut croire que les deux premiers n'ont pas été des succès suffisants pour susciter une sortie large. Avec un peu de chance, tu dois pouvoir encore le trouver au prix où HK le soldait : 19.99 €, 3 semaines après sa sortie. Moi qui l'ai payé au prix fort, j'ai été très content...
Bref, toujours est-il qu'il contient "les Fleurs et les Vagues", un film somme toute assez conventionnel mais qui vaut notamment par son titre - il est tellement beau et puissamment évocateur que j'aimerais le film rien que pour ça!, "histoire d'une prostituée" que je n'ai pas encore eu le temps de voir mais qui ne me semble pas être sans rappeler - du point de vue visuel surtout - le vénéneux et merveilleux "la bête aveugle" de Masumura Yasuzo, et bien sur le fabuleusement fabuleux - et je pèse mes mots - "la Vie d'un Tatoué".
Pour info, il raconte l'histoire de deux frères, l'un frêle lettré, l'autre yakuza sans remord. Suite à une altercation, le premier, vierge de toute ignominie, se voit contraint de tuer un homme pour sauver son frère. Dès lors, celui-ci décide qu'il en va de sa responsabilité d'éviter à son frère les geoles de la Justice, et ils décident de fuir.
Tout l'intérêt du film tient dans le contraste entre ce lettré naïf et idéaliste, l'honneur et la droiture perdue du yakuza, et celui-ci, qui cherche à rester irréprochable jusqu'au bout pour ne pas attirer l'attention sur eux.
Evidemment, tout cela tourne à la tragédie et le yakuza doit laisser la bête en lui prendre le dessus.
Ce qui nous donne un film de facture assez classique - presque pictural dans sa mise en scène ( presque comme "les Corbeaux" de Kurosawa, dans "Rêves", pour ceux qui connaissent ) - dans son début, et dont la mise en scène suit les passions et les décrépitudes des deux frères, toujours plus chaotique, toujours plus désordonnée. La scène finale, lorsque le yakuza laisse libre court à sa colère, figure d'emblée dans mon panthéon des scènes les plus remarquables.
Bref, je me tais, avec, tout de même pour finir, un petit message subliminal ( veuillez cligner des yeux très très vite en lisant ça : ) "allez voir "Godzilla Final Wars".

T.d.C.

Bien.
Un "St John's Wort" après, je veux bien savoir ce qui eut pu constituer ton appréciation du film, Sarugaku.
Juste pour comparer.
Personnellement, j'ai évidemment préféré à Uzumaki, mais ça souffre de certaines imperfections, notamment scénaristiques. La photo et l'utilisation des filtres, par contre, chapeau : très beau travail.
J'ai bien l'impression que Studio Canal nous a sorti des films gentiment undergrounds dans des packages histoire de faire novateur, mais pas de vraie révélation, hélas. ( l'autre double DVD avait un Takashi Miike dedans, et ça, non merci : j'ai déjà vu les 3 Dead or Alive, et bon, hein, d'abord )
Mais celui-là m'a pas mal évoqué Evil Dead, en fait. Inventif, agressif, toujours à la limite de la folie, d'un mauvais goût rafraichissant, et très très lovecraftien. Une bonne surprise, donc, même si peu être un peu naive...

Mon appréciation sur St John's Wort rejoint la tienne... D'ailleurs, elle se trouve troisposts sous mon coup de gueule...

Quant au coffret Suzuki, je m'en vais essayer de le trouver, n'ayant pas eu la chance de le voir en magasin... Et pourtant, je surveillais...

Et si j'apprenais à lire?
Ca m'éviterait sans doute de dire autant de bétises...

tetedechat a écrit:

Et si j'apprenais à lire?
Ca m'éviterait sans doute de dire autant de bétises...

Ou arrêter de lire avec les cheveux devant les yeux.

J'ai une amie, comme ça, elle arrêtait pas de regarder la télé avec ses cheveux - longs et mouillés - devant les yeux.
Elle s'appelait Sadako.
Si vous saviez où ça l'a menée...

la pov' fille...electrocutée par son magnétoscope